Nous sommes arrivées à la gare de Valenciennes à 13 heures. On va se rafraîchir à l’hôtel situé juste en face de la gare. Marie est venu nous chercher ! Pas difficile de la retrouver avec son automobile immatriculée en 13. ( Merci Marie )
Nous partons sur Anzin il est 13 h 30 quand nous arrivons devant le théâtre où d’autres fans sont déjà là et d’autres arrivent par petit groupe. Dehors il y a un vent pas très chaud. Nous décidons d’aller boire un pot à la brasserie du théâtre.
Vers 16 heures, nous retournons dehors afin d’assister aux balances qui commenceront aux alentours de 17 heures. Patrick est très en forme. Des fauteuils rouges dans lequel on s’enfonce nous accueillent, on y est bien assis !
A 20 h 40 le concert commence :
« Marseille » : Après l’entrée des musiciens un par un, Patrick arrive sur la scène, sa lampe de mineur à la main … et la poursuite éclaire timidement son visage souriant ! C’est comme quand on retombe un jour sur une photo ancienne… je suis heureux de vous voir ici… et ce soir je suis chez moi à Anzin…
« Mon pays » : Hop hop les premiers rangs se lèvent… avec la daladidada…. Le public est déjà chaud !
« Si tu revenais » : Toujours de nouvelles intonations de voix sur ce titre mais plus de discours au préalable.. ( On aime bien aussi quand tu parles Patrick même si papa dit que tu parlais plus que tu ne chantais… )
« Il paraît » : Patrick descendra le petit escalier central pour emmener une jeune fille en cavale… les yeux dans les yeux !
« Belle » : Une petite fille criera plusieurs fois Patrick je t’aime… lui répondra ah la la plusieurs c’est ça l’amour ( rires ) ou quelques choses de ce genre. Les choristes ont encore bien assurés ce soir, une personne chantera ES… avant le top départ final ES ME RAL ( on le tient ) DA !
« Sans bruit » : Assise je ressens toujours une grosse barre dans le dos quand il dit son cœur saiggnnnnnnnnee !
« Je sais où aller » : Les polyphonies toujours aussi géniales… Les visages familiers ne sont pas loin, Patrick lance des regards furtifs à droite et à gauche
« Toutes les peines » : Encore un petit arrosage ! De l’eau d’un geste sans y penser, Patrick s’amuse…
« Si on chantait plus fort » : Magique cette chanson même si je n’aime plus le passage au piano de Manu Guerrero. Un prélude de Rasmaninoff a remplacé le si doux « Song of guy » d’Elton John qui collait parfaitement je trouve au moment où Patrick s’asseyait pour admirer sa prestation…
« Que tu reviennes » : Dès le premier refrain les bras se lèvent pour des jours et semaines, des mois peut-être plus… bon j’aime bien cette chanson mais ça sent vraiment la fin du concert… Dédé nous fait son solo de guitare sous le regard toujours aussi complice et admiratif de Patrick ! J’adore quand Patrick éponge le front des musiciens avec sa serviette…
Rappel
Patrick revient et dit qu’il n’a pas envie de partir sur la belle introduction de la chanson suivante ma chouchoute
« Je ne serai jamais » : Patrick est de retour sur scène avec sa serviette au cou, en prononçant des éloges encore et toujours pour les musiciens et le public qui est là… 7 ans déjà qu’ils travaillent ensemble ils sont restés les mêmes… les nananana emportent le public moi c’est ma bouffée d’oxygène cette chanson a un pouvoir magique ! Une bonne majorité de la salle malgré une petite partie à droite de la scène qui restera assise chantera avec lui. Le sourire de Patrick à ce moment là en dit long sur son plaisir d’être chanteur. Heureux il est heureux d’être là !
« Debout » : Patrick est déchaîné, on a tous les bras en l’air. Quittant la scène avec son tabouret, et voyant l’ambiance de la salle, il refera jouer les musiciens pour nous accorder encore quelques jolis oh oh oh et de yé oh …
Encore un bon concert avec un public réceptif dans l’ensemble.
Un petit coucou à toutes celles que j’ai vu et ou revu. Merci à Sandrine de nous avoir ramenées à hôtel à l’aide de son GPS même si on ne lui dit pas qu’il ne faut pas emprunter les voies du tramway gazonnées.
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Lun 13 Nov - 22:31
