De retour de Saint Marcel de Vernon, après une bonne ( j’ai sans doute fait de beaux rêves ) et courte de nuit de sommeil ( dodo à 1 heure du matin et lever à 8 heures) voici mon récit.
C’est sous la pluie que Patrick est arrivé toujours au volant de sa golf suivi des musiciens. Il a pris le temps de faire un petit bonjour rapide à toutes personnes présentes ( la météo ne se prêtant à des grands bavardages).
Les balances ont eu lieu vers 17 heures avec un Patrick en pleine forme, toujours aussi blagueur.
Puis attente et collations dans un petit café du coin en attendant 20 heures et l’ouverture des portes bien au chaud car il paraît que c’est le printemps mais ça caille !
Nous voilà de retour après trois ans ( 22 novembre 2003) dans cette salle équipée de jolis fauteuils rouges moelleux, toute en gradin et avec des places aussi sur les côtés.
Ce soir je le sens bien, ambiance déjà chaude et intimiste au centre culturel Guy Gambu. Le concert commencera vers 20 h 40.
Placée au 9ème rang et un peu loin à mon goût la chance me sourit de voir quelques places libres au second rang sur le côté droit alors dès l’introduction de « Marseille » je décide d’aller m’y installer après une petite chute s’en graviter car plus d’éclairage ( attention à la marche et pas j’avais pas vu la marche rires !)
Confortablement installée dans mon fauteuil je savoure ce début de concert avec un Patrick très souriant ce soir. Il enchaîne sur « Mon pays », et hop dès le premier refrain, les fans éparpillées à droite et à gauche dans la salle se lèvent pour lui donner le meilleur de nous…
Puis « Il paraît » qu’il nous emmène en cavale, un petit bisou à une petite fille, des regards des caresses furtives sur les joues des unes et des autres en passant dans l’allée , il est vraiment proche de son public ( j’ai entendu dire cela à Jarcieu mais c’est vrai ce n’est pas à moi qu’il faut le dire je le sais déjà ) Il est de plus en plus à son aise et parle de plus en plus. Il nous dit s’être levé à 11 heures, petit déjeuner un café et un croissant de 3 jours chez tata, déjeuner chez Patou H avec au menu des pâtes ( préparés par ce dernier) puis départ pour Saint Marcel avec un temps magnifique comme nous avons pu le voir. ( pluie sur la route )
« Sans bruit » je frissonne toujours sur cette chanson et j’admire les beaux éclairages
« Belle » la chanson qui saoule certains (nes) il a parlé qu’il avait décidé de la garder ( décision de lui même) après avoir pensé à celle des barbes à papa ou encore une du répertoire de Johnny ( car il faut l’aider il commence sa carrière tout comme JJG)
« La BAL » je m’amuse toujours autant sur cette chanson
« Marlène » Les yéyéyé sont dynamiques ce soir et Patrick incitera toute la salle à se lever. Les déhanchés sexy déclenchent toujours quelques hurlements dans la salle
« Je sais où aller » Tout le monde se lève après l’introduction par de belles polyphonies, mais le problème de public est bien là lorsqu’il faut chanter le couplet, c’est timide ! Patrick s’en ira après avoir remis sa veste et fait la bise à ses musiciens. Il reviendra 5 minutes après sous de chauds applaudissements en nous demandant ce que nous avions mangé avec le concert il conseille d’ailleurs des pâtes ( ce sont des sucres lents ) et surtout pas de couscous ni de merguez !
« Toutes les peines » De l’eau, petit arrosage habituel du public ( rafraîchissement des brushings en même temps pour vous mesdames !) On s’amuse comme des petites folles !
« Si on chantait plus fort » Une belle ambiance ce soir on a chanté pour l’humanité, pour les parents, les enfants, sous la douche, dans le métro, pour ceux qui ne sont plus là, on s’est vraiment éclaté sur cette chanson. Patrick arrive toujours à conquérir son public. Les fiorinites sont de plus en plus fréquentes et contagieuses… attention !
« Que tu reviennes » Cette chanson si belle et chère au cœur de Patrick, celle qui l’a fait connaître en solo après Notre Dame de Paris, les dam dam dam di dam sont splendides.
« Je ne serai jamais » ma chouchoute et la chanson qui correspond le mieux à Patrick malgré sa difficulté de parler au singulier. De chauds applaudissements pour sa famille de cœur, ses musiciens ( russes pour certains rires !) J’adore ce moment et ce soir nous déciderons sur les nanana de nous avancer sur le devant de la scène, les bras levés en tenant la main de nos voisins. C’était super beau et très émouvent, j’ai toujours la gorge serrée à ce moment de part par les parole de cette chanson mais aussi parce que ça sent la fin du concert. Patrick est heureux ce soir, trait tiré sur le passé et sur le concert de Dugny que j’espère il oubliera aussi bien vite tout comme nous
« Debout » Poings levés et présentation de ses musiciens, remise de sa serviette à une petite fille, prises de photo avec l’appareil de valérie, c’était trop drôle !
Encore une belle soirée qui m’a rappelé celle de 2003 où Patrick avait fait une séance de dédicaces totalement imprévue. La table était d’ailleurs toujours au même endroit. Nostalgie !